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De l'universalité de la langue française

Résumé
Prononcé en 1784 devant l'académie de Berlin, Le Discours sur l'universalité de la langue française demeure le plus fameux des textes écrits sur le sujet. Grammairien et homme du monde, grand esprit et homme d'esprit, Rivarol semble avoir anticipé le débat contemporain sur le français et la francophonie. ©Electre 2016

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Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 2h. 9min.
Édition: Paris, Flammarion, 2014
Numéro du livre: 33312
ISBN: 9782081339095
Collection(s): GF

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Résumé:On a chacun eu droit à la fameuse question de l'île déserte et des ouvrages qui auraient la chance de figurer dans notre besace. Choix impossible et cas de conscience. Frédéric Beigbeder complique l'exercice en emportant sur le sable de "Dernier inventaire avant liquidation", non pas ses livres préférés mais les 50 ouvrages du siècle selon 6 000 Français. Il dresse pour chacun d'eux une fiche de lecture, avec l'humour qu'on lui connaît et l'insolence qu'on espère de lui : "On peut lire "Nadja" comme une ballade autobiographique et un roman d'amour plus poétique que du Madeleine Chapsal". L'auteur de "99 francs" jette donc sa bouteille à la mer: "Le XXe siècle fut riche d'œuvres magistrales, il est temps d'embrasser du regard ce siècle avant que peut-être, la littérature ne s'éteigne. Car je souhaite qu'il y ait encore des écrivains au XXIe siècle." La messe est dite. Beigbeder le critique s'élance pour un tour d'honneur et fait preuve, avec beaucoup de panache, d'une réjouissante pédagogie. Présentant les ouvrages et situant leurs auteurs, il fait renaître l'envie de lire ou de relire des classiques parfois trop vite usés sur les bancs d'écoles ou d'aller chercher dans sa bibliothèque ces livres connus, mais pas ou plus lus : "Lolita", "La Cantatrice chauve", "Pour qui sonne le glas", "Le Lotus bleu"... Alors, oui, bien sûr, il en manque, comme toujours, mais nous étions prévenus, une île littéraire n'est jamais assez grande.
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Résumé:Epicurien et jouisseur, Pierre Arditi est, depuis toujours, amateur de bonne chère et de bons mots. Aussi était-il le candidat idéal pour présenter cette anthologie des pensées les plus drôles consacrées à la gastronomie et au bien vivre. Nombre d'auteurs ont en effet rivalisé d'esprit à travers les siècles pour nous vanter les plaisirs de la table, de Voltaire à Jean Yanne, en passant par Alphonse Allais, Frédéric Dard, Jacques Prévert, Claude Chabrol ou encore Jim Harrison et Alfred Hitchcock. "Toutes ces éminentes personnalités, écrit Pierre Arditi, se font une joie de nous rappeler que la bonne chair, la bonne bouffe, le joli casse-dalle, le petit coup sur le bord du zinc, bref ce plaisir que nous prenons à nous faire plaisir, n'est non seulement pas condamnable, mais chaudement recommandé, jusqu'à la seconde même où ce plaisir nous transforme en poètes de nous-mêmes, en titilleurs d'imaginaire, en compagnons de jeu que seule réunit la volonté de rire de nous avant d'être obligé de nous taire".
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Résumé:– Ce pauvre général, il a encore été battu aux élections, dit la princesse de Parme pour changer de conversation.– Oh ! Ce n’est pas grave, ce n’est que la septième fois, dit le duc qui, ayant dû lui-même renoncer à la politique, aimait assez les insuccès électoraux des autres.– Il s’est consolé en voulant faire un nouvel enfant à sa femme.– Comment ! Cette pauvre Mme de Monserfeuil est encore enceinte, s’écria la princesse.– Mais parfaitement, répondit la duchesse, c’est le seul arrondissement où le pauvre général n’a jamais échoué. À qui l’attribuez-vous ? Swann hésita un instant devant cette toile que, visiblement, il trouvait affreuse : « À la malveillance ! » Marcel Proust est un grand auteur comique. À la recherche du temps perdu est l’un des livres les plus drôles et les plus anticonformistes de la littérature. En témoigne cette anthologie humoristique où chacun trouvera parmi ces joyaux d’humour la plus belle occasion de se divertir.
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:"Les racistes sont des êtres inférieurs", la phrase revient comme un boomerang : celui qui pense qu'il y a des êtres inférieurs est raciste... et s'autoproclame ainsi être inférieur. Quel crédit lui accorder ? Énoncer une telle phrase, c'est aussi suggérer l'opposé. Regardez autour de vous, les livres et les conversations regorgent de ces incongruités. Ce fourmillement fait ce livre. La définition du paradoxe doit être paradoxale : depuis le calamiteux "Je mens" des Grecs, et en disant "Je mens", je dis la vérité, donc je ne mens pas, mais alors... une caractéristique du paradoxe est ainsi que son contraire semble aussi pertinent. Cette constatation du "contraire vrai" a donné naissance à des théorèmes de logique prouvant l'existence inéluctable de propositions mathématiques indémontrables, une des grandes découvertes logiques du XXe siècle. Le paradoxe est le ferment de vérités ; en prime, il est drôle car nous aimons prendre en défaut des pseudo-certitudes qui se révèlent absurdes et nous goûtons les phrases apparemment stupides qui font surgir la vérité : "Je le crois parce que c'est absurde" (Credo quia absurdum) proclamait le Carthaginois Tertullien.
Lu par : Alain Masson
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:La Nouvelle Revue française a cent ans. C'est une longévité rare pour une revue de littérature et de critique. Aussi singuliers sont la notoriété et le rayonnement qui furent les siens dès les premiers temps de sa publication et durant tout le siècle. Quels étaient donc le projet et la situation d'André Gide et de ses amis cofondateurs pour que cette aventure se prolongeât si durablement ? S'agissait-il de faire école, d'élever une bannière ? Assurément non. Seulement, ici, la littérature a tous les droits. Rien ne lui est opposable. Ni la religion ni la politique, ni les moeurs ni la morale, ni la tradition ni la mode. Peu importe que l'on considère la parole de l'écrivain comme un don ou un effort, une aptitude ou une discipline. Seuls comptent l'intensité d'écriture et son pouvoir de révélation, cette singularité dans l'ordre de la connaissance et du discours qu'on lui accorde, au-delà de toute doctrine et «préoccupation» qui la limiteraient. «Sans prévention d'école ni de parti», telle fut La NRF : comme le disait Jacques Rivière, l'un de ses grands directeurs, «un lieu d'asile, imprenable, ménagé pour le seul talent, le seul génie, s'il veut bien se montrer». Et il s'est bien montré, avec Gide et Claudel, Proust et Martin du Gard, Larbaud et Supervielle, Saint-John Perse et Michaux, Malraux et Sartre, Alain et Blanchot... et par la voix de tant d'autres, tous gravitant autour d'un même soleil. Cette chronique de La NRF, riche en amicales et laborieuses complicités mais aussi en querelles, questionnements et détours inattendus, montre à quel point cette singulière histoire éditoriale s'est entremêlée à un grand siècle de littérature.